Carpediae Bougies et fondants parfumés
Carpediae: L'éveil des sens.
Je suis Fanou, artisane passionnée et créatrice de bougies et de fondants parfumés. Après une carrière dans la gestion de projets, une période de réflexion personnelle
m'a amenée à réorienter mon parcours professionnel vers un domaine qui me tient particulièrement à cœur : l'artisanat.
Mes créations, entièrement réalisées à la main, sont le fruit d'une passion pour les senteurs, les voyages et la lecture. Chaque bougie, chaque fondant, est une invitation à un voyage olfactif, une histoire racontée à travers des parfums subtils et des cires végétales de qualité.
L'artisanat est pour moi bien plus qu'une simple activité. C'est une forme d'expression, une thérapie, un moyen de partager avec vous des moments de résilience et d'espoir. Chaque création est unique, porteuse d'une émotion, d'une rencontre, d'un souvenir.
Je vous invite à découvrir mon univers parfumé, où chaque bougie, chaque fondant, est une ode à la vie, un moment de plaisir à s'offrir ou à offrir."
Comment je crée mes gammes ?
C'est un peu comme choisir son menu au restaurant : parfois, j'ai envie d'un classique, parfois, je me sens d'humeur aventureuse.
D'abord, je ferme les yeux et je me laisse guider par mon instinct. Si j'ai envie de quelque chose de doux et réconfortant, je me tourne vers une gamme majeure, un peu comme un bon chocolat chaud un jour de pluie. Si je me sens d'humeur plus mélancolique, je choisis une gamme mineure, un peu comme une balade nocturne sous la lune.
Ensuite, je regarde le thème de ma création. Si je veux faire une bougie qui sent les vacances, je vais choisir une gamme exotique, avec des notes de noix de coco et de monoï. Si je veux faire une bougie qui sent bon la forêt après la pluie, je vais choisir une gamme plus fraîche, avec des notes de pin et de mousse.
Mais ne vous inquiétez pas, je teste toujours mes gammes sur des cobayes volontaires (mes amis et ma famille) avant de les mettre en vente. Si ça sent bon, c'est validé. Si ça sent le poisson pourri, on oublie.